LA LUTTE CONTRE L’ABSENCE DE MOBILITÉ RURALE
« Pourquoi est-il important d’imaginer d’autres modes de transport en milieu rural et périurbain ? L’étalement des agglomérations et la dispersion de l’habitat en zone rurale, la localisation des activités économiques et le manque de transports en commun dans ces territoires où vivent 40 % des Français, ont poussé à une utilisation massive de la voiture individuelle qui n’est plus tenable aujourd’hui tant pour le climat, la qualité de l’air que le pouvoir d’achat des habitants des zones périphériques et rurales, contraints d’utiliser leur véhicule au quotidien.
Les collectivités locales, en association avec des acteurs privés ou associatifs, doivent désormais proposer et susciter des façons alternatives de se déplacer, moins polluantes pour l’environnement et moins coûteuses pour leur budget. Il s’agit de maintenir le lien social et l’accès aux services : santé, enseignement, commerces, loisirs… C’est également un atout pour renforcer l’attractivité de leur territoire. ».
Ces mots de l’ADEME, l’agence de la transition écologique, dans son chapitre concernant la mobilité rurale, l’élu et le cadre de vie, illustrent parfaitement le thème sociétal et l’ampleur du problème à traiter impérativement.
C’est la hausse du prix du gasoil qui a, en son temps, provoqué le mouvement des « gilets jaunes ». Afin du lutter efficacement contre cette absence de mobilité rurale, José TAPON propose aux habitants des villes moyennes, le « Pack Mobilité Rurale » structuré par la société FEDERCITY Mobilités.
Cette offre de mobilité se décline suivant toutes les configurations possibles, l’autopartage, le covoiturage, la location ou la gestion de flotte collective. Elle s’adresse aux particuliers en fonction de leurs besoins d’utilisation mais aussi aux Collectivités Publiques pour diminuer d’une façon drastique leurs coûts usuels. Ce partenariat est écolo compatible puisqu’il privilégie l’hybride et l’hydrogène comme mode de propulsion. Cette offre a pour objectif de faire baisser les coûts de transport de 20 % pour les particuliers, 30% pour les flottes des Collectivités Publiques et de 50% pour les organismes qui remboursent certains transferts.